Les infos du tennis

Articles parus dans L'EQUIPE du 13 Mai

Justine Hénin met un terme à sa carrière !



Justine Henin a annoncé officiellement l'arrêt immédiat de sa carrière, mercredi à Limelette en Belgique, deux semaines avant d'avoir 26 ans. Elle souhaite s'investir dans l'académie de tennis pour les jeunes qu'elle a créée dans son pays. Première conséquence : la n°1 mondiale - en tête du classement WTA depuis 117 semaines - ne sera pas à Roland Garros, dont elle est la triple tenante du titre. «C'est la fin d'une belle aventure, une page qui se tourne. Je ne ressens pas de tristesse, plutôt un soulagement», a déclaré la Wallonne, confirmant une information qui avait filtré le matin même dans la presse belge mais qui constitue malgré tout une surprise majeure, imprévisible il y encore très peu de temps.

Finalement, le plus ému visiblement lors de la conférence de presse aura été son entraîneur de toujours, Carlos Rodriguez. «C'est un jour difficile autant pour Justine que pour moi», a lâché ce dernier, qui n'a pas pu retenir ses larmes, quand Justine Henin parraissait, elle, plutôt déterminée. «Je sais que c'est un choc pour beaucoup de gens et une surprise aussi mais c'est une décision mûrement réfléchie depuis quelques temps déjà, a ajouté la joueuse aux sept titres dans des tournois du Grand Chelem. C'est un cheminement qui s'est fait dans ma tête depuis déjà quelques mois, peut-être depuis la fin 2007, la fin de quelque chose que j'avais rêvé depuis mes cinq ans.»

Nouvelle trés étonnante mais depuis quelque match elle n'y était plus trop

BRAVO pour cette trés grande championne :D:D

C'est étrange en effet, elle est encore jeune, bourrée de talent.
Mais comme tu le dis, elle n'y était plus, et surtout dans la tête.

Le monde du tennis l'a semble t-il usé.

Une grande championne...

Pour les personne comme moi qui ne connaisse pas son visage, vous pourriez si vous avez une image nous la poster.
merci :)

En effet, très surpris d'entendre ça, même si j'avais entendu son nom ce matin sur une radio flamande (mais j'avais pas capté lol).
Une des plus grande championne belge en tout cas !!

On parle peu de la Belgique, grâce à elle on en parlait, mais c'est finit à présent...

Bravo à elle pour cet exceptionnel parcours en tout cas !!

Articles parus dans L'EQUIPE du 19 Mai

merci NiT pour ses articles c'est extra de faire ça

Grand moment à venir demain sur le central pour vraisemblablement la dernière de Guga...

Kuerten pour revivre ses émotions



Heureux de retrouver Roland-Garros après trois ans d'absence et une blessure à la hanche qui l'a écarté des courts, Gustavo Kuerten aborde, à 31 ans, l'ultime tournoi de sa carrière avec une grande décontraction. Conscient de ses lacunes, mais également du cadeau qui lui est offert, le triple vainqueur des Internationaux de France (1997, 2000, 2001) ne s'attend pas à un miracle lors de son premier tour, dimanche, face à Paul-Henri Mathieu, mais souhaite goûter à nouveau aux émotions qu'il avait découvertes à Paris, celles qui lui avaient offert «le plus beau jour de sa vie».

« Gustavo Kuerten, trois ans après votre dernier match à Roland-Garros, vous êtes de retour à Paris pour disputer le dernier tournoi de votre carrière, comment vous sentez-vous ?
C'est toujours un plaisir d'être ici. Bien sûr, cette fois, c'est différent parce que c'est la dernière fois que je vais jouer, mais je me sens aussi bien qu'avant. Ca, ça n'a pas changé. être là aujourd'hui et jouer à Paris est important, plus important que d'être présent dans n'importe quel autre tournoi. Depuis deux ou trois ans, j'ai essayé de continuer à m'entraîner avec dans un coin de la tête l'envie de revenir jouer à Roland-Garros. Je ne pouvais pas rêver mieux.

Vous sentez-vous nerveux à l'idée de jouer le dernier tournoi de votre carrière ?
Oui... Mais je me sens nerveux à chaque fois que je dois jouer un match. Je sais que je dois faire avec le niveau que j'ai maintenant, bien loin de ce que j'ai été capable de faire dans le passé. Mais il s'agit d'un bon stress : je suis excité à l'idée de fouler la terre une nouvelle fois, exciter à l'idée de jouer. Ce sont des sensations que j'aime avoir à chaque fois que je vais démarrer le tournoi.

Avez vous déjà imaginé le moment où vous allez rentrer sur le court ?
J'ai essayé... une ou deux fois ! Mais vite, j'ai laissé tomber (rires). J'ai mis ça de côté car je préfère vivre les choses de l'intérieur, sur le moment, et vraiment ressentir ce qui se passe autour de moi. Il faut que les choses se fassent de façon naturelle, peu importe le contexte.

Vous allez affronter un Français au premier tour, Paul-Henri Mathieu, qu'attendez-vous de cette rencontre ?
Je vais jouer face à un bon joueur, bien meilleur que moi. Il me paraît impossible de le battre ! Mais... On ne sait jamais (rires). Dans tous les cas, c'est bien de jouer face à un Français, parce qu'il y aura du monde. Nous allons certainement jouer dans une ambiance extraordinaire, et j'avais envie de retrouver cela en venant ici à Paris.

Quel est LE souvenir que vous garderez de vos Roland-Garros précédents ?
J'en ai énormément, mais s'il fallait en garder un seul, ce serait le jour où j'ai battu l'Américain Michael Russel (ndlr : en huitièmes de finale, en 2001. Russel menait deux sets à zéro, et s'était procuré une balle de match au 3e set. Finalement, Guga s'était imposé en 5 sets et avait dessiné un coeur sur la terre battue du Central, avant d'y tomber à genoux... et de remporter, en fin de quinzaine, son 2e titre à Roland-Garros). De toute ma vie, je n'ai jamais ressenti d'émotions aussi fortes... Jamais. Ce genre de bonheur et de joie, elles sont difficiles à aller chercher, et j'ai eu la chance de pouvoir le faire ce jour-là. C'était inoubliable, le plus beau jour de ma vie. J'avais l'impression que tout le monde, tout le public, jouait avec moi. Ce genre d'émotions va au-delà du fait de bien jouer. Il s'agit plus d'une espèce d'osmose, d'un pouvoir que vous recevez, et vous avez l'impression de voler...

Etes-vous physiquement capable de disputer trois sets ?
Oui. Pas de la manière dont j'aimerais le faire, mais je peux jouer trois, peut-être quatre sets si je dois le faire. Le plus difficile sera surtout d'essayer de me mettre au niveau, d'essayer de reproduire les mêmes coups que je savais faire avant, de jouer point après point. Je m'entraîne, 1h - 1h30 par jour, donc je ne pense pas qu'il y aura de problème. Je serais probablement fatigué dans le dernier set, mais j'y arriverai.

N'avez vous pas peur que les gens soient un peu déçus de vous voir évoluer en dessous du niveau du triple vainqueur de Roland-Garros ?
Non, parce que ces gens-là aiment le joueur, oui, mais ils apprécient également qui je suis. Je vais y aller, et j'espère réussir quelques jolis coups pour m'amuser encore plus, et faire de ce dernier jour où je jouerai au tennis un des plus beaux moments de ma vie.

Et après ?
Après ? Après je me reposerai... au moins pour cette année. Je vais me relaxer tranquillement, et voir dans le futur si je peux encore mettre un peu de tennis dans ma vie, au moins pour jouer avec mes enfants ! Ce serait un beau cadeau ! (rires). Je vais également continuer à m'occuper de ma fondation, où j'ai encore beaucoup de choses à faire.

Vous parlez un peu français. Avez-vous préparé quelque chose de spécial pour le public dimanche ?
Ce qui est sûr, c'est que je ne vais pas redessiner un deuxième coeur sur la terre, je l'ai déjà fait en 2001 (rires) ! Et je ne sais pas ce qui sera le plus difficile dimanche : bien jouer, ou parler français... »

Tsonga doit renoncer



Quatre mois après ses exploits réalisés à 10.000 km de la France, à Melbourne, Jo-Wilfried Tsonga rêvait de communier avec le public parisien. Mais le Manceau a été rattrapé par la fragilité de son corps. Sa blessure au genou l'a contraint à annoncer son forfait pour Roland-Garros, la mort dans l'âme, samedi. Il sera opéré la semaine prochaine, sans doute mardi par le docteur Parier, et son indisponibilité est estimée à trois ou quatre mois. Il manquera donc aussi les tournois sur gazon, dont Wimbledon, et ses chances de jouer les Jeux Olympiques sont « minimes ».

«Je ressens beaucoup de frustration, énormément de tristesse», a commenté un Jo-Wilfried Tsonga abattu, et qui a préféré annoncer la nouvelle dans un grand hôtel parisien plutôt qu'à Roland-Garros, où il aurait reçu «beaucoup de sollicitations de la part du public alors que je n'ai pas envie de me retrouver au milieu de milliers de personnes me demandant ce qui se passe. J'aurais rêvé de jouer Roland-Garros dans de bonnes conditions. C'était la première fois que le public français m'attendait vraiment. J'avais des ambitions très fortes pour ce tournoi. Bien jouer dans les autres tournois du Grand Chelem, c'est super. Mais Roland, c'est magique. D'autant que j'ai bien joué ces trois dernières semaines sur terre battue, même si ce n'était pas la meilleure préparation.»

Tsonga a en effet tout tenté pour s'aligner à Roland-Garros, quitte à hypothéquer le reste de sa saison. Blessé au ménisque lors du stage de Coupe Davis avant Etats-Unis - France, début avril, le Manceau a refusé l'opération pour tenter un coup de poker, sous la forme d'une injection de cortisone destinée à soulager sa douleur et à lui permettre de jouer. Mais le mal est réapparu jeudi, lors du tournoi de Casablanca, avant sa demi-finale. Et de nouveaux examens, samedi matin à Paris, l'ont convaincu de la nécessité de se faire opérer, la blessure risquant de s'aggraver. «C'était vraiment un test, a expliqué « Jo », qui assume sa décision. Si je m'étais fait opérer juste après la Coupe Davis, j'aurais regretté de ne pas avoir tenté de jouer à Roland-Garros si cela avait tenu. L'objectif était clair : jouer Roland, ce dont j'ai été privé plusieurs années. » Tsonga ne compte qu'une participation aux Internationaux de France, en 2005, pour une défaite au premier tour.

Très souvent blessé durant sa carrière, Tsonga, âgé de 23 ans, essaie quand même de positiver : «Ce n'est pas la première fois que cela m'arrive. Je vais encore une fois essayer de profiter de ce moment-là pour revenir encore plus fort. Je ne suis pas découragé. Sinon, j'aurais déjà arrêté depuis plusieurs années.» Et son entraîneur Eric Winogradsky, qui ne l'a jamais abandonné lors des coups durs, apprécie les victoires sur terre battue de son poulain, qui n'avait encore jamais passé un tour sur cette surface avant cette année : «A Casablanca, même si le genou était de plus en plus douloureux, il a fait un bon tournoi. C'est toujours important pour un joueur de sentir que quand il part dans l'inconnu, il est capable de faire de grandes choses.» « Wino » compte mettre à profit cette période pour faire travailler Tsonga sur « la technique, la vidéo, comme par le passé. Cela lui avait apporté des choses ». Le Français passera sans doute Porte d'Auteuil durant le tournoi, pour «aller supporter les copains». Et prendre ses marques en vue de l'année prochaine.

Juste un petit hommage pour un champion que j'admire, moi le grand passionné de tennis...





«Pour moi, ce qui était important, ce sont le succès, les sensations que j'ai ressenties ici, mes victoires ici. J’ai remporté le tournoi à trois reprises. Mais la véritable signification, c'est que j'ai fait un bon match, j'adore la façon dont les gens me traitent. C'était très intense. J'ai vécu le tennis en moi, dans mes veines, dans mon sang. Ce tournoi était véritablement spécial. C'est un tournoi qui me permettait d'aller de l'avant comme mon cœur, comme mon amour en quelque sorte. Ce sont des choses que j'ai voulu dire en français, mais je crois que personne n'a compris (rires)»

Gustavo Kuerten


Bravo et merci Guga.

Je l'ai revu aujourd'hui avec beaucoup de plaisir. Le même Guga qu'il y a 10ans ou presque : même équipement, même silhouette, même cri caractéristique, même prise de repères avant de servir, même revers magique, même sourire, même gentillesse et simplicité apparentes sur son visage. Sa dernière sortie aujourd'hui m'a touché.
Merci à un joueur m'ayant fait vibrer la première fois il y a plus de 10ans maintenant...

C'était mon message nostalgique du soir, ne m'en voulez-pas... :)

moi aussi je dois dire que j'etais tres ému aussi j'adore ce joueur toujours le sourire et un mot gentil plus fair play c'est difficile de faire mieux...il restera gravé lgtps dans la mémoire des gens...BRAVO GUGA

Bon Wimbledon à tous...

J'ai un petit soucie avec la lecture du texte.

Il faut un logicièle ou un truc particulieé pour pouvoir lire ?

Je vois rien moi

Tout va bien pour moi...
Pas besoin de quoique ce soit, c'est une image hébergée.
Cliquer sur l'image, et re-cliquer sur le texte pour voir en un peu plus grand.

Ok, c'est bon en cliquent dessus ça devien visible

Merci nit

FINAL DU TOURNOI WTA DUBAI 22 / 02 / 2009


- la francaise virginie razzano s'est incliné en final du tournoi de dubai face a l'américaine Vénus Williams en 6-4 , 6-2 , .
williams a pris sa revanche car en 2007 , elles s'étaient rencontrer a l'occasion de la final d'un tournoi wta a tokyo , et razzano s'était imposée !!!
razzano est actuellement 58e joueuse mondiale !!!

retour sur le match :

http://video.google.fr/videoplay?docid=-3902573736794774864&hl=fr