c'est tout mélangé en fait.
voici un extrait de ce que j'ai trouvé sur
http://www.sportstrategies.comL’étude Heart of Sports Commerce de MasterCard, sponsor officiel de l’événement a été réalisée par le professeur Simon Chadwick (directeur du Centre International de l’Industrie du Sport à l’université de Coventry). Malgré la crise économique, la finale opposant le FC Barcelone à Manchester United va profiter économiquement aux deux clubs quelque soit le résultat : augmentation de la valeur de l’équipe, le prix remis au vainqueur, les contrats de sponsoring, les droits de télévision et la hausse des ventes des billets de la saison. Au minimum, l’équipe perdante récoltera 65 millions d’euros tandis que l’équipe gagnante générera l’équivalent de 110 millions d’euros et plus de 15 millions pour sa ville d’origine.
La crise n’impacte pas réellement la finale, au contraire elle encourage la consommation de divertissement pour fuir la morosité. Ville hôte de la finale, Rome bénéficiera de 45 millions d’euros grâce aux dépenses des supporters dans la ville, dans le stade et chez les preneurs de paris ainsi qu’aux dépenses marketing des sponsors officiels. Moscou avait généré 44.5 millions en 2008 et Athènes 26 millions en 2007. A tout cela il convient d’ajouter une « prime de récession » de 25 millions : en effet pour cause de crise, certains supporters ne se déplaceront pas jusqu’à Rome mais consommeront dans leur pays. D’après cette étude, le football ne connaît pas la crise et est un même bon remède.